- Politique
- Écosse
12 juin 2023
Après 16 ans de gouvernement SNP, les entreprises au nord de la frontière sont de plus en plus impressionnées par le parti d'Anas Sarwar.
ParChris Deerin

Le référendum sur l'indépendance de 2014 a été une expérience difficile pour beaucoup deÉcossede la communauté d'affaires. La majorité – probablement assez importante – des personnalités de haut rang étaient contre l'éclatement du Royaume-Uni, généralement pour des raisons pragmatiques. Ils s'inquiétaient de l'impact économique potentiellement dévastateur - un coup dur pour le PIB, un déficit budgétaire dramatique, des turbulences sur les marchés et la nécessité d'imposer des impôts élevés et de réduire considérablement les dépenses publiques.
Ceux qui ont osé exprimer cette inquiétude se sont immédiatement retrouvés victimes d'injures au vitriol, et parfois pires. Des boycotts ont été annoncés par des partisans de l'indépendance. Il y avait des appels téléphoniques en colère d'Alex Salmond. Le message était clair : ils participaient à une campagne cynique et anti-écossaise menée par les forces unionistes et devaient se taire.
Dans les années qui ont suivi le référendum, de nombreux hommes d'affaires se sont désengagés de la politique décentralisée. Ils ont gardé la tête baissée et ont poursuivi leur travail quotidien. DansNicolas Sturgeon, le remplaçant de Salmond en tant que premier ministre, ils ont vu un politicien qui avait peu d'empathie ou d'intérêt pour la fortune du secteur privé. Même si vous vouliez une réunion ministérielle, il n'était pas toujours facile d'en obtenir une ou de sentir que cela en valait la peine.
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C'était malheureux, car cela signifiait que le débat économique au nord de la frontière était devenu fortement dominé par des voix de gauche. L'argument de la compétitivité et de la modération a effectivement été abandonné, les impôts sur le revenu ont augmenté et l'intervention de l'État s'est accrue. On parlait d'une économie de bien-être, de dépenses publiques plus élevées et même des maux de la croissance économique. Peu d'attention a été accordée à la création de richesse et à l'élargissement de l'assiette fiscale nécessaire pour financer des services publics plus solides.
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Ces dernières années, les entreprises ont retrouvé leur voix. Une série de politiques SNP-Green mal gérées - telles que le système de consigne pour dissuader les bouteilles à usage unique, l'interdiction proposée de la publicité pour l'alcool et l'introduction de zones marines hautement protégées qui excluraient la pêche d'une proportion importante des eaux écossaises - combinées avec un sentiment croissant de négligence économique, a exigé un réengagement avec Holyrood, parfois sous une forme robuste. Les entreprises ont averti que la hausse des niveaux d'imposition a rendu plus difficile leur tâche de recrutement de talents à l'étranger. Le secteur du pétrole et du gaz est de plus en plus préoccupé par l'impact que les ministres écologistes purs et durs ont sur la politique énergétique.
Humza Yousaf se dit déterminé à réparer cette brèche. Il est conscient qu'il a failli perdre leSNPl'élection à la direction de Kate Forbes, qui a fait de l'économie un élément central de son manifeste et a parlé régulièrement de la nécessité d'un secteur privé fort et d'une croissance économique si la bataille contre la pauvreté devait être gagnée. En tant que secrétaire à l'économie, Forbes était l'une des rares personnalités du SNP à s'engager avec sympathie dans le secteur privé.
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[Voir également:Le Labour a-t-il un avenir en Ecosse ?]
Le nouveau secrétaire à l'économie de Yousaf, Neil Gray, a promis "une nouvelle approche de la relation du gouvernement avec les entreprises... [et] de développer et de convenir d'un "New Deal" avec le secteur privé". Un groupe a été mis en place pour gérer les relations, présidé par Gray et Poonam Malik, responsable des investissements à l'université de Strathclyde. Les membres comprennent des représentants de groupes tels que le Scottish Retail Consortium et la Scottish Tourism Alliance. L'un de ses objectifs déclarés est d'impliquer les entreprises à un stade précoce de l'élaboration des politiques gouvernementales.
Un pécheur se repent et tout cela. Des sources ministérielles disent que Yousaf veut vraiment s'engager et est beaucoup plus ouvert d'esprit sur la politique que ne l'était son prédécesseur. Mais c'est probablement trop peu, trop tard.
Je passe beaucoup de temps à parler et à écouter les chefs d'entreprise et les entrepreneurs écossais, dans tous les secteurs. De plus en plus, je trouve qu'ils envisagent positivement la perspective de gouvernements travaillistes à la fois à Londres et à Édimbourg. Depuis qu'il est devenu le chef deTravail écossais, Anas Sarwar a mis l'accent sur sa vision pro-business et a entrepris une tournée énergique du circuit du « poulet en caoutchouc ». Ceux qui le rencontrent en ressortent généralement impressionnés.
Il est important de comprendre qui sont les chefs d'entreprise écossais et qui ils ne sont pas : ils sont souvent mal caractérisés. D'après mon expérience, la plupart sont issus de milieux ordinaires - autodidactes plutôt que de surfer sur l'argent et les relations de la famille. Ils se sont bien débrouillés et vivent peut-être richement – profitant de vacances chères et envoyant leurs enfants dans des écoles privées – mais ils ne se sont pas complètement déconnectés de leurs origines.
Certains, en particulier parmi la cohorte plus âgée du secteur financier, sont des conservateurs thatchériens naturels et des syndicalistes engagés. Beaucoup, cependant, sont politiquement modérés et regardent avec émotion le gouvernement Blair, avec sa vision équilibrée des intérêts publics et privés. Plus que quelques-uns m'ont dit que si Holyrood avait été mieux géré - produisant un formidable système d'éducation publique, un NHS sain et une économie dynamique - ils auraient pu être tentés de soutenir l'indépendance, en particulier compte tenu de la tourmente du Brexit et de Boris Johnson. ces dernières années à Westminster. C'est toujours quelque chose qu'ils pourraient envisager à l'avenir, dans les bonnes circonstances.
Dans son entretienavec le chancelier fantôme du LabourRachel Reevesdans l'actuelNouvel homme d'État, Jason Cowley explore sa théorie de la « sécuronomie ». « Un gouvernement travailliste », écrivait-il, « n'introduirait pas d'impôts annuels sur la fortune et sur la terre ; augmenter l'impôt sur le revenu; égaliser les taux de gains en capital et l'impôt sur le revenu (ce que feu Nigel Lawson a fait en tant que chancelier); rejoindre le marché unique européen et l'union douanière; changer la Banque d'Angleterreinflationcibler et réformer son mandat rigide; ou prendre des services publics privés dans la propriété publique, à l'exception des chemins de fer.
Cela alarmera la gauche, mais c'est le genre de pragmatisme centriste que les entreprises accueillent favorablement. Même ceux qui regrettent le Brexit comprennent que le retour de la Grande-Bretagne versl'UE, s'il doit y en avoir un, ce sera un processus de plusieurs décennies.demi-tour apparent sur le développement de la mer du Norddonne l'impression bienvenue qu'il écoute les critiques.
Au cours de ses 16 années de gouvernement, le SNP aurait peut-être joué son rôle de manière très différente et construit un soutien général plus large en faveur de l'indépendance. Il a choisi une voie différente, faisant souvent appel à la foule, et en paie maintenant le prix alors que ses échecs dans des domaines importants et ses scandales internes deviennent plus apparents pour les électeurs. De nouveaux chiffres publiés cette semaine par la Commission électorale montrent que les nationalistes n'ont reçu que 4 000 £ de dons au cours des trois premiers mois de cette année, et cela d'un seul donateur (un James Murdoch de Strathearn), tandis que les travaillistes écossais et les libéraux démocrates ont tous deux a attiré 200 000 £.
Je soupçonne que plus nous nous rapprochons des élections générales de l'année prochaine et des élections de 2026 à Holyrood, plus Anas Sarwar trouvera d'argent dans les coffres du Labour. Beaucoup d'entre eux proviendront probablement d'une communauté d'affaires qui souhaite désespérément un changement de régime à Holyrood.
[Voir également:L'Ecosse ne changera pas tant que son gouvernement ne le fera pas]
Sujets dans cet article : Travail écossais, SNP
FAQs
Quelle est l'importance du travail pour la société ? ›
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Comment les conditions de travail ont un impact sur le salarié et l'organisation ? ›L'environnement de travail a un impact direct sur la productivité. En effet, en améliorant l'environnement de travail, vous contribuez à améliorer le bien être ainsi que la motivation et donc la performance de vos salariés.
Comment le travail Peut-il contribuer au développement de la société ? ›Le travail peut servir l'intérêt public et, lorsqu'il consiste à s'occuper des autres, il développe la cohésion sociale et renforce les liens familiaux et communautaires. Le travail joue également un rôle de consolidateur des sociétés.
Quels sont les avantages de travailler dans une entreprise ? ›- Vous avez la sécurité financière. ...
- Vous obtenez plus d'avantages. ...
- Présence d'un processus bien définis. ...
- Vous aurez un meilleur statut. ...
- 5.Il y'a plus de possibilité de développement de carrière.
Travailler a également des conséquences sur la santé mentale. La pression, les horaires, la surcharge de tâches demandées… peuvent créer une véritable souffrance et être des facteurs entraînant des troubles de la santé mentale allant du burn-out, aux envies suicidaires en passant par la dépression.
Quel est l'impact du travail sur la vie de l'homme ? ›Travailler pour s'épanouir
Pour d'autres personnes, travailler est une source d'épanouissement personnel. Ils travaillent dans un domaine qui les passionne vraiment. Le travail leur apporte quelque chose de plus dans leur vie. Ils sont passionnés par ce qu'ils font et sont souvent les plus comblés.
- Énergie et attitude personnelles. L'association de l'énergie et de l'attitude d'une personne déterminera en grande partie sa productivité, quel que soit le contexte, professionnel ou non. ...
- Équipements et ressources. ...
- Objectifs. ...
- Leadership. ...
- Environnement.
- Exigences. quantité de travail trop importante; positions pénibles; conditions environnementales (chaleur…) ; ...
- Contrôle ou moyens disponibles. manque de temps; formation insuffisante; lieu de travail inadapté; ...
- Soutien social. manque de reconnaissance; manque de soutien social/familial;
Les conditions de travail ont donc un impact sur la performance des organisations. En interne, elles favorisent le climat social, l'implication au travail et donc la performance. En externe, elles ont des répercussions sur l'image et la notoriété de l'organisation.
Comment une entreprise participe à la vie économique ? ›L'entreprise verse des salaires à ses employés, des dividendes à ses actionnaires, des impôts à l'Etat et aux collectivités territoriales. C'est un acteur économique essentiel qui participe à la création et la redistribution de richesses.
Comment une entreprise peut contribuer au développement durable ? ›
Réduction des matières premières et des énergies utilisées dans la conception d'un produit (utilisation de la technique de l'Analyse du Cycle de Vie, ACV) Optimisation des transports et mise en place d'un Plan de Déplacement Entreprise pour réduire l'impact carbone de l'entreprise. Réduction et tri des déchets sur site.
Quel est le rôle du travail dans la croissance économique ? ›Le facteur travail contribue à la croissance car si une entreprise embauche davantage de travailleurs ou augmente les horaires des travailleurs (heures supplémentaires) alors le volume de la production va augmenter, donc croissance.
Pourquoi une entreprise et pas une autre ? ›Voilà une liste non exhaustive des raisons que vous pouvez évoquer : La taille de l'entreprise, ses conditions de travail plus ou moins formelles, la culture de l'entreprise. Des perspectives d'évolution, de carrière. L'envie de relever de nouveaux défis en lien avec l'ADN de l'entreprise.
Quels sont les avantages et les inconvénients du travail en équipe ? ›Le travail en équipe est une excellente idée lorsque les membres de l'équipe poursuivent le même objectif et possèdent des compétences complémentaires. Cependant, il peut être difficile de motiver les gens à travailler ensemble s'ils n'en voient pas clairement les avantages.
Quels sont les avantages et les inconvénients de l'entrepreneuriat ? ›Les avantages de l'entreprise individuelle. Avoir une gestion simple et peu coûteuse. Les inconvénients de l'entreprise individuelle. Une forme juridique qui ne favorise pas le développement de l'activité
Quelles sont les causes du travail forcé ? ›La pauvreté et la discrimination génèrent les conditions dans lesquel- les des pratiques de travail forcé persistent. Les personnes défavorisées ont souvent besoin d'argent dans le seul but d'assurer leur survie quo- tidienne, ce qui les contraint à proposer leurs services contre un mon- tant forfaitaire ou un emprunt.
Quelles sont les sources de stress au travail ? ›Intensité et temps de travail : exigences excessives de travail, complexité du travail, difficultés de concilier vie professionnelle et personnelle… Exigences émotionnelles : tensions avec le public, obligation de cacher ses émotions… Manque d'autonomie : procédures trop rigides, sous-utilisation des compétences…
Pourquoi le travail rend l'homme indépendant ? ›Le salarié et son travail dépendent alors entièrement du patron. La notion de liberté ne peut se développer lorsqu'il y a exploitation. Le salarié exploité ne peut donc se concevoir comme un homme libre dans le travail et donc dans sa vie en général. Le travail apparaît donc comme ce qui prive l'homme de toute liberté.
Est-il vrai que le travail assure l'indépendance ? ›Le travail est vu comme une nécessité dans nos sociétés modernes. Son utilité est toute trouvée : il apporte l'indépendance financière en nous donnant un salaire. Il est donc source de liberté.
C'est quoi le travail en économie ? ›Activité professionnelle rémunérée qui permet la création, la production et l'entretien de bien et de service.
Quelles sont les cinq sources de motivation principales ? ›
Rémunération, contenu du poste, conditions de travail, relations dans le travail et statut constituent les 5 principaux facteurs de motivation d'une situation de travail. La rémunération se trouve être davantage un facteur de démotivation que de motivation.
Quelles sont les sources de motivation en entreprise ? ›- 1- Responsabilisation et autonomie dans le travail. ...
- 2- Reconnaissance et valorisation du travail fourni. ...
- 3- Conditions de travail agréables. ...
- 4- Bon équilibre vie pro/vie perso. ...
- 5- Politique de rémunération motivante. ...
- 6- Développement des compétences professionnelles.
Parmi les facteurs de démotivation des salariés, des relations tendues ou inexistantes avec les collègues de travail, un rythme de travail intenable, un manque de collaboration entre les différentes équipes, un manque de moyen pour atteindre ses objectifs ou un manque de communication positive avec la hiérarchie ...
Comment améliorer les conditions de travail dans une entreprise ? ›- 1) Être à l'écoute de ses collaborateurs. ...
- 2) Être flexible. ...
- 3) Agir sur l'organisation du travail. ...
- 4) Veiller à l'amélioration continue. ...
- 5) Proposer une alimentation saine.
Pour l'entreprise, les enjeux d'une amélioration des conditions de travail sont de quatre ordres : économiques, organisationnels, humains et juridiques. b. Les enjeux pour les salariés Pour les salariés, les enjeux des conditions de travail concernent la santé et la sécurité et la motivation.
Quels sont les facteurs les plus importants dans l'entreprise ? ›- L'argent.
- La gestion.
- Le marketing et les ventes.
- Les personnes.
- Les produits et services.
- Le processus et les systèmes.
Qu'est-ce qu'un bon environnement de travail ? L'environnement de travail comprend l'ensemble des éléments matériels et humains qui peuvent avoir une influence sur vos tâches quotidiennes. Cela inclut aussi les conditions de sécurité, d'hygiène et d'accessibilité.
Comment améliorer l'environnement de travail ? ›- Prioriser l'intégration et la formation des nouveaux membres d'équipe.
- Créer un environnement de travail confortable.
- Effectuer régulièrement des mises au point.
- Encourager la collaboration et la communication.
- Développer une culture d'entreprise forte.
Un environnement de travail positif peut être défini comme donnant la priorité au bien-être, à l'évolution et à la sécurité de ses employés. C'est un espace dans lequel ces derniers se sentent entendus, compris, à l'aise et encouragés.
Quelle est l'importance de l'économie dans l'entreprise ? ›L'économie de l'entreprise traite également de la production et de l'offre de biens ou services. Il est crucial pour une entreprise de maîtriser ses coûts de production pour rester compétitive. Une entreprise doit évaluer l'offre existante sur le marché, puis ajuster sa production en conséquence.
Quels sont les impacts des entreprises ? ›
Les activités des entreprises ont un impact environnemental considérable. Elles représentent une source majeure de prélèvement de ressources naturelles et de rejets dans l'environnement. Les industries pétrolières et les usines chimiques ne sont pas les seules à polluer.
Quelles sont les 3 caractéristiques d'une entreprise qui vous attirent le plus ? ›- Mettez en avant vos collaborateurs.
- Une attention particulière à leur équilibre professionnel et personnel.
- Valorisez les parcours individuels dans votre entreprise.
- L'innovation.
- L'esprit d'équipe.
- L'intégrité
- Le respect.
- La responsabilité
Une entreprise est éco-responsable dès lors qu'elle intègre de façon globale les impacts environnementaux dans ses critères de décision, pour l'amélioration et la gestion de l'ensemble de ses processus. Tous les aspects de l'activité de l'entreprise sont concernés.
Quelle est l'action de l'entreprise sur l'environnement ? ›L'action des entreprises pour l'environnement
On peut évoquer le développement sans précédent des énergies renouvelables : éolien, hydraulique, géothermie, solaire… L'optimisation de la gestion de l'eau est également au cœur des préoccupations des entreprises tout comme le tri et le recyclage des déchets.
- Une gouvernance solide. ...
- Un fort engagement à l'égard des parties prenantes. ...
- Des perspectives à long terme. ...
- Des mesures détaillées. ...
- Un niveau de transparence élevé.
L'organisation du travail contribue à la croissance économique L'organisation du travail favorise l'accélération de la croissance économique, car elle est source de gains de productivité et elle rend le système productif plus compétitif.
Quels sont les avantages et les inconvénients de la croissance économique ? ›La croissance pourrait donc aboutir au développement. En plus de ce cercle vertueux il y'a la tertiairisation de l'économie. les effets négatifs : Parmi les effets négatifs nous avons la pollution, la surexploitation des ressources, la déforestation et le réchauffement de la terre.
Quel sont les 5 facteurs qui influencent la croissance ? ›- L'impact du travail sur la croissance économique. ...
- L'importance du capital dans la croissance. ...
- L'influence de la technologie sur la croissance économique. ...
- Les autres facteurs de croissance.
En d'autres termes, l'acte de travailler est une condition fondamentale de l'épanouissement de l'homme. C'est en travaillant qu'une personne est capable de se maintenir financièrement. Mais, en même temps, sa profession lui donne un sentiment de dignité dans la vie.
Qu'est-ce que le travail nous apporte ? ›Le travail est un vecteur de développement personnel et préserve nos capacités intellectuelles. Et il ne faut pas oublier que le travail est valorisant, nous assigne un rôle dans la société, un statut social et une reconnaissance de la part des autres déterminant pour une bonne santé mentale.
Pourquoi le travail est une valeur ? ›
Tout d'abord, au sens économique, le travail est producteur de valeur. Travailler pour produire des biens et des services consiste à accomplir une tâche par laquelle on va contribuer à agir sur le réel pour le transformer et lui donner ce que l'on appelle une valeur ajoutée.
Quelle est la valeur du travail ? ›La valeur du travail est invariante et permet d'évaluer tous les biens. L'argent qui permet d'échanger les biens n'est qu'une reconnaissance de cette valeur. En effet, « des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d'une valeur égale pour le travailleur.
Qu'est-ce qui justifie le travail ? ›Le travail, c'est la santé, nous assène-t-on. Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux.
Est-ce que le travail Rend-il libre ? ›Le travail est vu comme une nécessité dans nos sociétés modernes. Son utilité est toute trouvée : il apporte l'indépendance financière en nous donnant un salaire. Il est donc source de liberté.
Quelles sont les raisons qui poussent l'homme à travailler ? ›- On travaille d'abord pour vivre. a. Les hommes doivent produire ce dont ils ont besoin. Les hommes travaillent afin de satisfaire leurs besoins. ...
- On travaille essentiellement pour s'humaniser. a. Le travail transforme la nature pour l'humaniser. ...
- On travaille pour se libérer du travail.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Est-il nécessaire de travailler ? ›Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Est-ce que le travail est une valeur morale ? ›Le travail n'a pas de valeur morale en soi, car il se paie, il est une valeur marchande. Or, la morale est désintéressée. Et l'argent, qui répond surtout à un besoin, ne suffit pas à donner ce supplément d'âme qu'est la motivation.
Quelles sont les citations sur le travail ? ›- “Au travail, le travail pense pour nous.” ...
- “Tout salaire mérite travail.” ...
- Le travail, c'est la santé ? ...
- “Le travail du dimanche n'enrichit pas.” ...
- “Travail bien réparti ne tue pas.”
- “La chance aide parfois, le travail toujours.” ...
- “Le capital est du travail volé.” ...
- “Le travail fatigue même les ânes.”
Le sens du travail se définit selon trois aspects : l'orientation du sujet dans son travail, ce qu'il recherche dans son travail ; la signification du travail, la valeur du travail aux yeux du sujet et la représentation qu'il en a ; l'effet de cohérence entre le sujet et le travail qu'il accomplit.
Comment qualifier le monde du travail ? ›
- Ambitieux. Une personne ambitieuse est quelqu'un qui a un fort désir de réussir en atteignant ses objectifs. ...
- Créatif. ...
- Avoir de la compassion. ...
- Consciencieux. ...
- Courageux. ...
- Flexible. ...
- Honnête. ...
- Humble.
L'origine. Le mot travail vient du latin tripalium, qui était, je vous le donne en mille, un instrument de torture composé de trois pieux ! Historiquement, le travail désigne, en effet, la souffrance, la douleur, en particulier celle que peut endurer une femme lors de l'accouchement.
Pourquoi le travail est essentiel pour vivre heureux ? ›Enfin, le travail contribue à notre bonheur car il aide à se réaliser et se dépasser. Il permet aussi d'apprendre continuellement du savoir-faire et du savoir-être et de s'épanouir pleinement. Il renforce notre confiance en soi et notre estime de soi par la réalisation d'objectifs avec succès.